La CFE-CGC organise une conférence-débat conjointement avec l'IRES, le mercredi 24 novembre 2021. L'évènement aura lieu à la Maison de la CFE-CGC, à partir de 18h30.
Ce colloque sera consacré à la présentation de deux études : La création d’entreprise : un rejet du salariat ? et Les nouveaux intermédiaires du travail B2B.
François Hommeril, président de la CFE-CGC, introduira le colloque.
Une présentation de l'Ires sera réalisée en introduction par Franck Mikula, son vice-président.
La création d’entreprise : un rejet du salariat ? (étude réalisée dans le cadre du partenariat CFE-CGC IRES)
Nous recevrons les auteurs de l'étude :
Emmanuel Abord de Chatillon, professeur des universités à l’université Grenoble Alpes, responsable de la chaire management et santé au travail et du master management stratégique des ressources Humaines de Grenoble IAE ;
Fabienne Bornard, enseignante-chercheure à l’INSEEC et spécialisée en entrepreneuriat.
Les nouveaux intermédiaires du travail B2B : comparer les modèles d’affaires dans l’économie numérique collaborative, avec un focus sur les freelanceurs et prestataires de services intellectuels
Odile Chagny, économiste à l’Ires et animatrice du réseau Sharers & Worke, présentera son étude.
Ce colloque permettra de répondre aux questions :
- Quels sont les facteurs déclencheurs du passage du salariat à la création d’entreprise ?
- Quelle est l’équation économique du développement des nouvelles formes d’emplois ?
- Quels sont les nouveaux enjeux syndicaux, découlant de ces évolutions ?
L'évènement se déroule uniquement en présentiel. L'inscription est obligatoire et le nombre de places limité.
Comment accéder à l'évènement ?
Maison de la CFE-CGC - 59, rue du rocher 75008 Paris
M° : Europe, Villiers ou St Lazare
Le projet de loi Macron pour la croissance et l’activité modifie plusieurs dispositions importantes du Code du travail. Il accentue le déséquilibre entre la partie des employeurs et celle des représentants des salariés alors que nous sommes dans une période difficile de chômage important.
Pour la CFE-CGC, ce n’est vraiment pas le moment propice pour ce type de modifications ou il aurait fallu l’améliorer au lieu d’utiliser l’article 49.3 qui a coupé court à toute discussion.
En donnant aux entreprises la possibilité de définir unilatéralement le périmètre d’application des critères d’ordre des licenciements sans aucune contrepartie, on remet en cause le dialogue social interprofessionnel.
En permettant au groupe de se désolidariser d’une de ses composantes, on affaiblit l’obligation de reclassement et le contenu des PSE. On permet aux dirigeants du groupe auquel appartient éventuellement l’entreprise d’échapper complétement à leurs responsabilités économiques et sociales en matière de sauvegarde des emplois, de reclassement et de reconversion des salariés. Cela permet à de tels groupes d’organiser la mise en liquidation d’une filiale sans avoir à en supporter les conséquences.
Pour la CFE-CGC, c’est une fois encore, un dispositif qui donne plus de latitude aux employeurs sans aucune contrepartie ni garantie pour les salariés
Dossier suivi par : Franck MIKULA secrétaire national – 06 69 79 22 84 - franck.mikula@cfecgc.fr
Le protocole d'accord préélectoral est un accord stratégique pour la représentativité de la CFE-CGC. Il définit entre autres le nombre, la composition des collèges électoraux, le nombres de sièges...
- Quelles sont les étapes préalables à la négociation du PAP ?
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